Importation de voitures chinoises : ce qu’il faut savoir

Vous en avez marre de croiser la même citadine grise au coin de la rue ? Envie d’un peu d’exotisme dans votre garage ? Bonne nouvelle, les voitures chinoises débarquent sur le marché, prêtes à bousculer la routine avec leur look atypique, leurs options futuristes et leurs prix qui font sourire. Mais avant de craquer pour une petite perle venue d’Asie, mieux vaut savoir où vous mettez les roues ! Voici un petit tour d’horizon détendu sur ce qu’il faut savoir pour importer un véhicule chinois, sans prise de tête.

Sommaire

Pourquoi craquer pour une voiture chinoise ?

Les temps changent et, côté automobile, la Chine s’impose de plus en plus. Fini les clichés sur les voitures « cheap » : aujourd’hui, le made in China, ça rime avec innovation et économies. Les modèles chinois offrent souvent des équipements dernier cri à des tarifs défiant toute concurrence. Franchement, qui peut résister à une voiture électrique qui fait du bruit (électronique) juste pour le plaisir ? Et pour pousser le style jusqu’au bout, pourquoi ne pas glisser un clin d’œil traditionnel avec un cerf-volant dragon chinois sur la plage arrière, histoire d’afficher fièrement son esprit ludique et original !

Des prix attractifs, vraiment ?

Vous pensez qu’importer coûte une fortune ? Erreur ! Les voitures chinoises, c’est un peu comme les soldes toute l’année : des prix mini pour des prestations maxi. Mais attention, tout n’est pas compris dans le prix affiché sur le site du constructeur… Le shipping, les taxes et les petites surprises de la douane, c’est pour votre pomme. Faites bien vos calculs !

Des options à faire pâlir James Bond

Caméra 360°, clim automatique, sièges massants… Certaines voitures chinoises vous font presque regretter votre salon. Il faut avouer que côté gadgets, ils ne font pas semblant. Envie d’une application qui démarre la voiture depuis le lit ? C’est possible. Bref, on n’est pas loin de la navette spatiale…

Les étapes pour importer sans stress

Importer une voiture, ça ne s’improvise pas (sauf si vous aimez les surprises de l’administration française). Suivez ces étapes pour éviter de finir en PLS devant la préfecture, à contempler tristement votre nouveau véhicule décoré d’un lampion chinois (très joli, mais pas sûr que ça suffise pour obtenir votre carte grise !).

  • Choisissez votre modèle avec soin (gare aux coups de cœur sur photos trop retouchées).

  • Contactez un importateur fiable (vérifiez les avis, et fuyez ceux qui écrivent en Comic Sans).

  • Demandez le devis complet : voiture, livraison, taxes, pas de zone d’ombre.

  • Préparez les documents (carte grise, certificat de conformité, preuve d’achat, etc.).

  • Vérifiez que la voiture respecte les normes européennes (ou préparez-vous à une leçon accélérée de législation auto).

La paperasse, ce sport national

On ne va pas se mentir, remplir les papiers d’import, ce n’est pas la partie la plus fun. Mais un conseil : soyez rigoureux. Un document oublié et c’est le cauchemar assuré, avec la voiture coincée au port, ou pire, à la douane. Votre zen-attitude en dépend.

Les points de vigilance à ne pas zapper

Tout le monde ne vous veut pas que du bien, surtout sur Internet. Avant de valider un virement international pour une voiture qui brille plus que le soleil, méfiez-vous des arnaques.

Les garanties, c’est important !

Qui dit import, dit parfois galères en cas de panne. Assurez-vous que la marque dispose d’un réseau en Europe ou d’un service client qui parle votre langue. Rien de pire que de devoir expliquer un bruit suspect à un traducteur automatique…

Conclusion : rouler chinois, pourquoi pas ?

En résumé, importer une voiture chinoise, c’est comme commander un buffet à volonté : il y a de belles surprises, à condition de savoir ce que l’on fait. Avec un peu d’organisation, une pincée de patience et le bon interlocuteur, vous pourrez bientôt rouler différent, tout en gardant le sourire (et votre portefeuille).

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